lundi 5 avril 2010

iPhone 101

Je n’ai pas de iPhone, iPod ou autre petit machine du genre. Aussi mon premier petit cours de iPhone sera un peu limité, de l’avis de plusieurs utilisateurs plus expérimentés que moi.

J’en conviens. Cependant afin de faire profiter mes concitoyens de ma faible expertise je me limiterai à une seule fonctionnalité. Fonctionnalité souvent ignoré par plusieurs.

iphone_menu[1]

Il y a une menu qui s’appelle Réglages (ou Settings). Oui oui! On peut effectuer des réglages sur un iPhone.

Et dans ce menu on peut même régler la luminosité de l’écran.

Je sais, c’est sûrement un choc pour vous. Oui, on peut régler la luminosité de l’écran.

Et c’est là qu’on peut voir le génie d’Apple. Il y a un réglage de luminosité dont une qui permet de régler la luminosité en fonction de l’éclairage ambiant. Automatiquement!!

Wow! Ça c’est fort!

 

photo3[1]Je vous dis ça parce qu’alors que le premier réflexe de tout nouvel utilisateur de iPhone c’est d’essayer la fonction téléphonie, la fonctionnalité lecteur de musique ou d’autres trucs du genre, les fonctionnalités relatifs à la protection de l’environnement passent souvent au second plan.

Et quand je vous parle d’environnement, je ne vous parle pas nécessairement de sauver la planète au économisant votre batterie. C’est bien, évidemment, de sauver la planète. Mais c’est aussi bien de sauvegarder les yeux de vos voisins.

Huh?!? De que c’est??

Ok! Contexte…

Je suis dans l’autobus qui me ramène de Sherbrooke vers Montréal. Il est fait nuit noire, pas comme la nuit à Montréal avec ses néons, plutôt nuit noire comme en pleine campagne entre Eastman et St-Étienne-de-Bolton.

Donc, vraiment nuit noire…

Puis, vlam! Je ressent un brulure vive à l’oeil. Je ne vois plus rien. C’est mon voisin de siège devant moi qui vient d’allumer son iPhone. Je vous jure, j’avais l’impression d’être un chevreuil sur la route alors qu’une voiture décide d’allumer ses phares anti-brumes!! Qu’est-ce que c’est ça?? L’ombre de sa tête se projette vers le plafond comme une ombre chinoise. Son machin éclaire sur trois ou quatre rangées de siège!

Wam!! C’est à nouveau nuit noire. Mon oeil a à peine eut le temps s’adapter à la lumière que son iPhone s’éteint. Je ne vous ment pas. Il a ainsi allumé et éteint son foutu machin une centaine de fois le long du trajet Sherbrooke – Montréal. Puis comme sur le bord d’un lac, les autres passagers, tel des mouches à feu, se sont mis aussi s’illuminer et à regarder, qui son cellulaire, qui son lecteur MP3…

Arrrrrrrgggggg!!!

Au secours!!

Je me réjouissait qu’il n’y avait les éternelles conversations inopportunes qui saoule de banalité. Voilà que je suis au milieu d’un troupeau de trippeux de message-textes. Clic-clique-clique-clic. Blip Blip! Un autre message qui arrive, une autre lumière qui s’allume, une autre ombre de tête au plafond.

Je viens de trouver un nouvel exemple de pollution lumineuse!! Une pollution lumineuse intérieure.

J’ai les rétines qui sentent le brulé…

Vivement que j’arrive chez moi, que je ferme les lumières, que je me couche…  que je ferme les yeux…

Ok… Juste après que j’ais regardé si j’ai reçu des emails…

seizures[1]

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