dimanche 19 avril 2009

Et vlan! Les simples causes…

Des fois, la vie a ses petits secrets pour remettre à sa place ceux qui se pense fin. Elle nous lance des défis tout en sachant que se sera peine perdu, tout ne restera qu’une profonde énigme.

Jeudi, j’écrivais sur mes réflexions sur ma façon de rechercher les causes des choses.

Or vendredi, un vendredi ordinaire, je vais diner près du bureau. Pas beaucoup de temps, je vais au plus près et le plus près c’est le restaurant du Zellers situé dans le complexe de centre d’achat où se trouve également mon bureau. En traversant le stationnement, un éclair de lumière attire mon attention. Un reflet lumineux par terre… Je me penche et je trouve une pièce de monnaie.

Whoua! Deux jours de suite! La veille j’avais trouvé un dix sous par terre. Vieux réflexe, “cenne de luck” comme on disait quand j’étais petit, je la ramasse.

Mais là, c’est spécial. Ce n’est pas un sous canadien, ni même américain. C’est tout léger, en aluminium, presqu’un jeton tellement c’est bizarre.

D’habitude on repère facilement l’origine d’une pièce de monnaie en lisant simplement dessus. Mais là, euh… Ok! Je devine quand même que c’est asiatique. De retour à la maison, je me met à rechercher sur internet. Mais rechercher quoi? Mon clavier n’a pas ces caractères là!

Je cherche “monnaie asiatique”… Des sites de finances, des banques… rien avec des images (hormis des graphiques d’indice boursier, et en descente ces temps-ci).

Bon, je change ma recherche sur Google. Je me dis qu’un photo m’aiderais bien plus. Je clique sur Google Images et inspiré, comme un parfait bilingue, je tape “asian coin” et je tombe la-dessus. Juste en bas à gauche une petite image pâlotte qui ressemble à ma pièce et ça dit: one yen coin.

Yes! J’ai ma réponse.

Sauf que…

Qu’est-ce que ça faisait là? Un stationnement d’un Zellers où il n’y a que des vieilles anglaises qui jouent au bingo les mardis soirs au restaurant. Ce n’est qu’en même pas le quartier international du centre-ville de Montréal quand même.

Qui donc se promène avec des un yen dans ses poches, ici au Québec, dans l’ouest de Montréal. Moi je fais le ménage de mes poches à chaque soir et je met dans un bol toutes les pièces plus petites que le vingt-cinq sous par ce je trouve que ça m’encombre.

Et je suis là, avec ma question. sans espoir d’une réponse… Et vlan pour ma capacité à trouver des réponses… Je pense que je ne deviendrai jamais un journaliste d’enquête.

Énigme…

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